jeudi 3 mars 2022

Gorge nue, entre ange et démone

- Oh putain ! Tu ne rigolais pas, tu ne portes vraiment pas de soutien-gorge ?
- T’as l’air ahuri ! Je te l’avais écrit… et photographié !
- Ouais quand tu rencontres quelqu’un, mais là tu sors de cours. Ou c’est parce qu’on se voyait tout de suite après ?- Je n’en porte jamais sauf à certains moments quand mes seins sont trop sensibles ou trop lourds.
- Mais c’est dingue ça !
- Pourquoi ? Parce que toi tu portes un soutif peut-être !
- C’est trop sexuel. C’est normal que les mecs réagissent.
- Bizarre, on n’a jamais vu une lesbienne se ruer sur une femme parce qu’elle ne porte pas de soutif. Le problème doit donc bien être ailleurs… À moins que tu me sortes le vieux refrain “ les nanas ont moins de désir ”.
- Non non, mais tu bosses avec des jeunes.
- Oui, mais comme je ne porte pas de décolleté, ni de tissu transparent, je ne vois assurément pas où se situe le problème. On en voit plus sur les pubs des arrêts de bus.
- Là j’ai qu’une envie, c'est de glisser mes mains et les soupeser pour voir si tes seins sont aussi lourds que ce que je m’imagine en les voyant doucement ballotter.
- Retire mon écharpe avant de m'étrangler, satyre.

Il s’approche les mains en avant en tirant la langue et en roulant des yeux. Je ris de suite beaucoup moins quand ses mains écartent les pans de mon foulard pour flatter ma poitrine. Ce geste si doux contraste tellement avec ses propos excités. Il dénoue mon étole et la pose soigneusement sur le dos de la chaise.

- Soie et cuir, Madame ne se refuse rien !
- J’aime leurs contacts sur ma peau.
- Petite polissonne. Mes mains peuvent être douces aussi.

Il ouvre un à un les petits boutons de mon corsage. Le galbe de mes seins apparait. D’un index paresseux, il suit leur contour, l’un après l’autre. Je sens bien qu’il est plus insistant à gauche. C’est juste que question volume, ce sein remporte le prix du plus gros !

- C’était déjà diablement ravissant et sensuel sur la photo. Si tes étudiants savaient leur douceur. C’est carrément impossible de résister.
- Comme je vous plains !
- Insolente. Attention, j’ai de quoi calmer ça, dit-il en pinçant mes mamelons.
- Sauvage.
- C’est ça qui arrive quand on se trimballe sans soutif, ma p’tite dame.
- Non sérieux, tu crois que les nanas ne lorgnent pas vos pectoraux sous vos chemises cintrées ? Et pourtant elles ne vous harcèlent pas pour autant.
- Je doute que mes pectoraux soient aussi beaux que cette poitrine. Tu es superbe. C’est vrai qu’un soutien-gorge parait presque superflu. Sauf pour éviter qu’on ait envie de les caresser, les embrasser, y promener ses lèvres.
- Et si tu le faisais au lieu de me faire la leçon…
- Oh quel joli nombril, charmant tout cela, ma langue a quelques envies coquines.

Il souffle légèrement sur mon ventre. Je frissonne. Au contact de sa langue, je sens mes tétons se gonfler. Je m’accroche à ses épaules. Il redresse la tête avec un sourire narquois. Mais ses yeux s’assombrissent d’un coup en voyant mon buste si tendu. Il m’assoit sur le lit et absorbe mes aréoles. Je gémis entre plaisir et douleur. Il relâche la pression et titille la pointe droite tout en léchant la gauche. Je plaque sa tête plus fort contre moi et mon bassin cogne contre le sien.

- Doucement ma belle, ne soit pas si pressée. Je compte bien prendre tout mon temps, mais je veux bien te délester de ton pantalon.

Pas le temps de lui rétorquer que je vais aussi enlever le sien que je me tords en sentant un doigt se faufiler dans mon vagin. Sa paume frotte ma vulve dans un geste ample.

- Hum mon petit démon tentateur est en fait un vrai ange d’humidité. J’adore. Oui, c'est ça ma belle, ouvre-toi pour moi.

Ma culotte vole à travers la pièce. Il enfonce son pouce et le sort aussitôt. Je le sens chercher le meilleur angle pour caresser mon bourgeon pendant que deux doigts me crochètent de l’intérieur. C’est divin, lubrifié de mon suc, ils glissent tous tellement bien. Je sens rouler mon clitoris sur toute la pulpe de son pouce en une caresse lente, généreuse.

- C’est bon. C’est si bon… ça monte. Je… oh…
- J’aime aussi, tu gicles sur mes doigts.

Il me pénètre plus puissamment désormais dans des va-et-vient plus rapides. Il alterne les mouvements de crochets et les pénétrations plus profondes. Je le supplie de ne rien changer. Il rit et en rajoute en enfonçant sa langue dans les replis de mon nombril, au même rythme qu’il me prend la chatte. Je perds pied et comme un dernier rempart face au déferlement du plaisir qui gagne toutes mes terminaisons nerveuses, je tire sur ses boucles de cheveux. Il grogne mais ne lâche rien. Une dernière contraction et la jouissance me foudroie. Je me tends comme un arc. Mon clito s’enflamme. Je bloque son pouce pour diminuer la pression et profiter de tous les soubresauts de cet orgasme libérateur. Il m’embrasse dans le cou avant de se caler sur mon côté. Il happe au passage un sein et le suçote doucement.

- Et moi qui ai hésité à te faire jouir qu’en caressant tes seins… tu es une adorable créature.
- Donne-moi une minute que je récupère et je te montre à quel point. Tu m’as emmené loin, très loin.
- Hum pas mal d’ailleurs pour une première fois.
- C’est vrai que tu peux en être fier.
- Non, attends un peu avant de t’attaquer à mon jeans.
- Pourquoi ?
- Je veux que la tension baisse pour avoir le plaisir de la sentir remonter en moi et en toi.
- Vu ta bosse, on la fait redescendre comment ta tension ?!
- En me détournant de ton joli petit corps. Raconte-moi pourquoi tu ne portes pas de soutien-gorge ?
- T’es sérieux là ?
- Très sérieux ! T’en as jamais porté ?
- Ado, je n'ai jamais voulu, mais ma mère voyant mon fort développement m’a trainé dans un magasin de lingerie. Mais comme je faisais déjà un bonnet C sur un tour de buste étroit… j’ai pas eu beaucoup de choix. Des dentelles, des couleurs classiques. Rien de fun ni de jeune. Et ça a vite empiré. Bonnet D en 3ᵉ et toujours 85 de tour. À moi les baleines doubles et les gros élastiques pour soutenir comme disait la vendeuse.
- Pas cool pour toi, mais ça devait être kiffant pour les garçons.
- Surement, mais j’ai pas essuyé trop de regards appuyés. Sauf à la plage car au moins mon époque était monokini… Désormais tu ne peux même plus allaiter ton enfant en public ! Quelle régression.

C’est vrai que même moi je trouve ça exagéré et malsain. Dis donc ça a dû être délirant pendant ta grossesse. T’as allaité ?

- Oui, là, c'était bonnet F ! Remarque j’avais atteint le E en fac. J’ai tout entendu. J’ai essuyé tous les discours : elle va tomber, tu devrais faire plus attention en portant un soutien-gorge même la nuit. Et toujours de la lingerie moche et des stries sur ma peau. Elle redescend ta tension là ?
- Ne change pas de sujet, s’il te plait, moi j’ai pas changé de rythme tout à l’heure…
- Quel bon garçon ! C’est exact, mais je ne m’attendais pas à devoir te faire plaisir en racontant mes déboires de lingerie.
- Je suis un garçon plein de surprises, continue.
- Bon, j’en ai eu marre au bout de quinze ans et j’ai opté pour des brassières en coton achetées au supermarché, loin des yeux d’une vendeuse sûre d’elle. Et c’était mieux, moins de rougeurs, mais toujours la hâte de l’enlever dès que je rentrais. Comme je passais souvent les étés sans en mettre, en septembre, j'ai décidé d’essayer une journée sans au boulot. Comme je porte toujours des écharpes, c’était pas trop voyant. Je n’en ai jamais remis sauf à certains moments de mon cycle.
- Et ta poitrine n’est pas tombée ? Et ton mari ?
- Ma poitrine est même remontée. Ça a d’ailleurs été prouvé scientifiquement sur des sportives de haut niveau. Le mouvement No bra communique d’ailleurs désormais à ce propos. Quant à mon mari, il est respectueux, il ne lui viendrait pas à l’idée de se mêler de mes décisions. Avant, dans les magasins de lingerie, il m’aidait à fouiller les bacs de solde pour trouver ma taille, au grand dam de certaines clientes d’ailleurs.
- Il n’est pas jaloux que tu te montres seins nus sur la plage ?
- Non, du moment que personne d’autres n’y touche…
- Ok sur ce coup-là il a perdu, mais c’est pas moi qui vais m’en plaindre. J’arrive déjà pas à être à l’aise quand ma femme est en bikini, alors si elle avait cette poitrine somptueuse, je lui interdirais la plage !
- Et tu crois que cela l’empêcherait d’avoir une liaison avec quelqu’un ?
- Je sais que c’est irrationnel et hypocrite. Tu sais, j’aurai aussi peur qu’elle se fasse agresser.
- Ça ne m’est jamais arrivé, mais c’était dans un autre temps. Désormais je vais sur des plages naturistes pour éviter les remarques.
- Ah carrément ! Putain t’es vraiment à l’aise avec ton corps. Remarque, y’a rien à jeter, tu es bandante. Mais justement les regards des mecs doivent peser.
- Et non, pas dans le milieu naturiste, le corps n’est pas autant sexualisé. Et puis mes seins changent durant mon cycle, mous, durs, pesants, légers, plus ou moins dissymétriques. C'est sûr qu'au lycée ou à la fac, il peut y avoir des coups d'œil égrillards des élèves quand ils s'en rendent compte ou l'étonnement de certains collègues, mais personne n'a osé une seule parole. Heureusement pour eux d'ailleurs ! Et je fais de belles économies que j'investis dans mes sextoys !
- Tu penses à tout ! Tu peux garder tes joujoux dans ton sac, car on ne va pas en avoir besoin. Ma stratégie n’a pas été efficace, au contraire, mes couilles sont encore plus pleines.
- Hum, laisse-moi t’alléger de ce poids.
- Je suis tout à toi, ma belle. Je veux bien te servir de jouet humain.
- Attention, tu pourrais regretter de me laisser le pouvoir.
- Oh je ne suis pas inquiet, je sais que tu vas en abuser pour notre plaisir à tous les deux.
- Quelle confiance ! Donc reprenons, libérons la bête de toute contrainte de tissu. Imagine qu’elle y prenne goût… plus de boxer à acheter ! Que des plugs à la place !

Il éclate de rire et guide ma main sous son boxer tout en reprenant mon téton de son autre main pour le guider à sa bouche et le téter.
Deuxième round. Huummmm.

mardi 23 novembre 2021

Nue dans la forêt

Et zut j’avais oublié que c’était un week end prolongé donc j’ai peu de dispo avant mardi ! Ma vidéo va devoir attendre et mes envois de nouvelles aussi.

Mais je prends quelques minutes fragmentées durant ce week-end pour te raconter mon rêve de cette nuit. Comme quoi, il suffit qu’on échange quelques mots pour que mon appétit revienne… Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas réveillée aussi excitée au cœur de la nuit. Mais commençons par le début.

Ma visio s’est finie tard vers 18h30 et j’étais sonnée mais heureuse d’avoir revu certains de mes étudiants donc entre eux et toi, je me suis couchée avec le sourire. Comme je suis en train de lire un essai sur la communication entre les arbres (c’est bien plus rigolo que le titre le laisse supposer !), me retrouver nue dans la forêt n’était pas aussi bizarre.

Hum, je me vois marcher dans la forêt et j’enlève un à un mes vêtements. J’ai eu chaud toute la nuit pourtant j’avais pourtant pas grand-chose à enlever. Que le drap. D’ailleurs c’est le bonheur de me retrouver nue sous les draps, j’aime nicher mes mains entre mes cuisses. Et quand je me mets de côté, sentir mes genoux contre mes seins. Quand la chaleur monte sous la couette, je la soulève pour ventiler et sentir ce petit courant d’air qui me fait frissonner. Pâle rappel des frissons de plaisirs qui m’assaillent quand tu me caresses. Mais j’ai ressenti cette fraicheur sur ma peau et je me suis roulée dans l’herbe de la clairière. Les gouttelettes de rosée se sont accrochées sur mon téton et je les ai recueillies avec gourmandise sur mes seins. Hum tu te souviens de la jolie illustration d’une femme goutant le sein d’une autre. Hum… délicieux rappel d’un moment torride qui a mis le feu aux poudres, ou plutôt au cul pour être exact. Mais reprenons.

Donc me voilà couchée dans l’herbe en train de tripoter mes seins. Hum je crois que je sais bien moins m’y prendre que toi d’ailleurs. Ou est-ce le regard pétillant que tu as à cet instant qui change tout ? Ah zut j’ai encore disgressé ! Excuse-moi.

Pas besoin de salive pour dresser mon téton puisque la rosée s’est chargée de le faire. Je préfère d’ailleurs, c’est comme sous la douche, quand l’eau coule sauf que j’aime la force du jet d’eau sur mes mamelons alors que là rien de tel. Décidément je ne sais pas si je vais arriver au bout de mon récit, mon esprit prend vite d’autres détours.

Mes mains glissent de ma poitrine et lissent mon petit ventre. Hum ce petit renflement comme un dernier rempart à passer avant d’atteindre mon sexe. J’aime cette attente, quand on sait qu’elles vont toucher mes replis les plus intimes mais qu’on ne sait pas encore quand. Enfin quand on est avec un partenaire car là je sais direct que je ne vais pas me faire attendre… Pourtant j’adore la frustration dans le plaisir. Ne pas mener le jeu, se couler dans le tempo de l’autre, languir et espérer. Diable voilà que je m’échauffe devant mon ordinateur. Ok ok ok gardons la tête froide à défaut du reste.

Un doigt paresseux furète entre mes lèvres. Je ne suis pas très humide mais ma vulve s’est déjà gonflée. Alors je fais rouler les lèvres l’une contre l’autre et mon capuchon en profite au passage pour coulisser sur mon bourgeon qui se dresse davantage à chaque instant. Le délice d’un contact indirect, juste de quoi vouloir plus. Je me caresse avec toute ma paume, c’est chaud et doux. 

CLAP. 

Je sursaute et je regarde autour de moi étonnée. Une branche proche de casser ? Rien, mais restons un peu vigilante du moins autant que mes mains vont me le permettre… A genoux, les fesses sur mes talons, j’écarte les cuisses juste assez pour y loger ma main. Une inspiration profonde et je me pénètre avec le majeur et l’index. Ils explorent toute ma cavité, en étirant les parois. Certains points me font gémir. Je me penche en avant en me retenant au sol avec l’autre main. Je courbe mes doigts comme si je te disais de venir me rejoindre. Si tu avais été là, j’aurais pu en profiter davantage, j’aurais juste creusé les reins et savouré ces premières convulsions de mon vagin. Là je dois garder mon équilibre et ça nuit un peu à mon plaisir. Tu sais combien ce mouvement me rend folle. Je coule. Ça fait floc floc. Je sais combien ce son te rend fou. Autant en finir vite, je n’arriverais pas à garder la position longtemps. 

CRAC CRAC. 

Le bruit interrompt brusquement la montée de mon plaisir. Merde, j’y étais presque. Je me lève, guettant l’arrivée d’un importun. Animal ou humain. Bon si c’est un sanglier, je suis dans une grosse galère. Si c’est un humain, s’il n’est pas trop vicieux, j'ai une chance. Je rebrousse chemin en espérant y trouver mes vêtements. Toujours rien en vue. Je me cache derrière le tronc d’un gros chêne pour scruter plus attentivement. D’un geste inconscient, je frotte la pulpe de mon pouce sur ma bouche. Un geste rassurant de prime abord mais qui devient vite sensuel. Je suce mon doigt et m’en sers pour humidifier mes lèvres. Ma langue s’enroule autour, mon ongle l’érafle doucement. Ma température grimpe, je ferme les yeux et amorce un va et vient. Des images se bousculent en moi et mon bassin bouge en cadence. L’écorce de l’arbre frotte mon dos trop vivement, je me retourne en appuyant ma poitrine. Je n’y tiens plus, j’écarte les cuisses au maximum et frictionne énergiquement mon clitoris. Mes doigts investissent mon vagin. Je tremble sur mes jambes. Putain je sens que ça va être fort. Je me déchaine. Mais c’est encore insuffisant, mon auriculaire poisseux se libère pour investir mon cul. Putain que c’est bon. Pas besoin de l’enfoncer bien loin car déjà j’halète et je crie.

Et je me réveille, ahurie, dans mon lit, dressée comme un i. Mon mari se retourne vaguement dérangé dans son sommeil. Je quitte la chambre pour reprendre mes esprits et surtout calmer les démangeaisons de mon sexe. Devant l’évier de la cuisine, par la fenêtre, je regarde mon chêne centenaire éclairé par la lune. Je glisse un doigt pour vérifier mon état. Je suis trempée et ma chatte est bombée. L’urgence est là. Je reprends la pose de mon rêve et quelques frottements suffisent pour me faire jouir. Pas le temps ni l’envie de fignoler, juste le besoin de décharger toute l’excitation de cette drôle de nuit.

Et moi la femme pourtant très attachée à son libre arbitre trouve très amusant de constater le pouvoir que tu as sur elle !

J’ai hâte de déconfiner avec toi…


samedi 15 mai 2021

Ecrire, une envie, un problème

J’ai toujours écrit même quand j’obtenais 0/20 en dictée au collège…

 Ma prof de français de l’époque n’arrêtait pas de dire à ma mère que je n’aurai aucun problème au lycée. Et cela a été la réalité. J’ai facilement adopté tous les codes de l’écriture d’argumentation même si le côté thèse-antithèse-synthèse de la dissertation m’ennuyait. A moi donc le commentaire composé au bac et une super note à la clé. Tu vois maman, elle avait raison la prof !

Que je me suis ennuyée à la Sorbonne en alignant les dissertations, sortes de critiques littéraires. Dire que tel mot à la page 10 faisait écho à celui de la page 50. Je n’y croyais pas et je n’y crois toujours pas. Que j’aurai aimé être dans une fac américaine pour apprendre à écrire toutes formes de textes. Et quand pour entrer en maitrise, mon prof m’a annoncé que je travaillerai sur les lumières dans Ronsard, là j’ai dit stop ! Direction Nanterre et un mémoire sur la littérature érotique. Je me suis copieusement fait insulter par les personnes que je sollicitais mais au moins c’était intéressant. Que de livres lus dans le métro, en changeant les jaquettes pour avoir la paix ! Merci la page sélection érotique de France Loisirs et du Livre du mois.

Malgré toutes mes lectures et tous mes écrits universitaires, j’ai toujours dit à mes proches que je serai incapable d’écrire un ouvrage de fiction. Je suis nulle quand il faut raconter une histoire, je m’embrouille entre les temps de conjugaison. Ils me rétorquaient qu’on pouvait surement écrire autrement. Pourtant pendant des années, je n’ai pas essayé. Je me suis contentée d’écrire mes cours, rapports ou autres écrits professionnels.

Puis j’ai changé d’avis. Tout d’abord quelques pages sulfureuses échangées sur des réseaux, avant de développer certains épisodes en nouvelles. Un plaisir pour moi-même. Publier, surement… un jour.

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